Les deux offrandes

Pendant les sept mois où il se trouva parmi les Philistins, l'Arche de l'alliance causa des maladies, la mort et la peste parmi le peuple.

L'Arche de l'Alliance était sacrée; représentait la présence de Dieu au milieu de Son peuple, au même titre que les dîmes et les offrandes. Celui qui les retient est soumis à l'esprit de la malédiction. Par conséquent, lorsque Dieu dit à Son peuple d'apporter des dîmes et des offrandes à Sa maison, Il les assure immédiatement de réprimander le dévorateur, c'est-à-dire la malédiction ou la peste qui a consumé ceux qui l'Ont volé.

Pressés par la malédiction, les Philistins résolurent de la rendre à Israël. Et ils consultèrent leurs prêtres et leurs devins pour savoir comment ils devaient faire ce retour. Même s'ils étaient des serviteurs du mal, ils étaient conscients que sans une offrande de culpabilité, la peste ne cesserait pas.

L'offrande de culpabilité était obligatoire. Le roi David a également dû sacrifier pour éliminer la malédiction de la peste qui avait frappé le peuple d'Israël. Dieu a dû sacrifier son Fils Jésus pour éliminer le fléau du péché sur l'humanité. Ce type d'offrande est une manifestation de foi qui impose l'obéissance. Si cela n'est pas fait pour le bénéfice personnel du salut éternel, ce sera pour le mal de la perdition éternel.

La bénédiction vient de l'obéissance à la Parole de Dieu avec sacrifice. La malédiction vient de la désobéissance à la Parole de Dieu.

Une chose est certaine: obéissant ou non à la Parole de Dieu, le sacrifice sera toujours présent, pour le salut ou pour la perdition. Celui qui sacrifie obéit; qui obéit, sacrifie et est sauvé. Celui qui ne sacrifie pas, désobéit; qui désobéit, ne sacrifie pas et sera sacrifié dans l'étang de feu et de soufre.

L'offrande spontanée, également appelée offrande libérale, est inspiré par l'Esprit de Dieu et implique pureté et grandeur d'esprit. C'est la plus grande et pure expression de l'amour, du détachement et de la confiance en Dieu. Celui qui offre donne sans rien attendre en retour.

Voulez-vous recevoir la plénitude de Dieu? Alors, sacrifie-lui votre plénitude, c'est tout pour le tout. Qui croit, dit amen. Qui ne croit pas, patience.